| Note [3] |
|
« dont je crois donc qu’il va s’en aller rejoindre les morts, {a} parce que, outre la gravité de la maladie qui l’y pousse, le voilà aux mains de médecins peu clairvoyants ; mais les gens de cour naissent, vivent et meurent pour ce destin : ils prennent et sont pris, ils trompent et sont trompés. » |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 25 janvier 1661, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0666&cln=3 (Consulté le 10/12/2025) |