| Note [2] | |
« L’ordre de la Nature exige cela par-dessus les forces propres qui jamais ne l’emportent ; et c’est un axiome thérapeutique qui est profondément vrai. {a} Cette protubérance du clitoris n’est pas une grave maladie ; si pourtant il provoque de la gêne, il doit être réséqué par le fer, mais le cautère n’y vaut rien. » {b}
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 7 mai 1663, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0749&cln=2 (Consulté le 11/12/2025) |