| Note [5] |
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« parce qu’il n’usait que de peu de médicaments, qui lui étaient familiers et qu’il choisissait avec bonheur. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 14 novembre 1664, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0798&cln=5 (Consulté le 08/12/2025) |