| Note [3] |
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« ce sont en effet des vauriens sans aucun aveu et des grippe-sous sans nulle vergogne, de misérables ardélions {a} faiseurs de sirops {b} et de julep. » {c} |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 13 octobre 1665, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0840&cln=3 (Consulté le 12/12/2025) |