| Note [1] |
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Guy Patin a reparlé plus loin du remariage des veufs : v. note [6], lettre 906, où il est question des épouses successives de Théodore de Bèze, dont la dernière (deuxième ou troisième) avait une fille, que son beau-père semblait avoir fort cajolée (en interprétant les dires d’Étienne Pasquier) ; autrement dit, un vieil homme lubrique a besoin de deux femmes, une pour le foyer et une pour la fredaine. Mon interprétation est néanmoins sujette à caution. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 13 avril 1666, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0863&cln=1 (Consulté le 11/12/2025) |