| Note [6] | |
« ainsi je m’abuse moi-même et ris de moi ». Brisé par le chagrin et par l’inquiétude, Guy Patin tâchait de se consoler en lisant les : Iusti Lipsii De Constantia libri duo, qui alloquium præcipue continent in Publicis malis. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 22 juin 1668, note 6.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0932&cln=6 (Consulté le 08/12/2025) |