| Note [4] |
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« méditant sur l’extrême brièveté de la vie » : Vitæ summa brevis, spem nos vetat inchoare longam [L’extrême brièveté de la vie nous interdit les longues espérances] (Horace, v. note [12], lettre 98). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Caspar I Bauhin, le 20 septembre 1647, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1046&cln=4 (Consulté le 11/12/2025) |