À Bernhard Verzascha, le 18 octobre 1664, note 2.
Note [2]

« Et le chien aboie après la Lune, mais la Lune ne s’en émeut point » (v. note [8], lettre 34).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Bernhard Verzascha, le 18 octobre 1664, note 2.

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(Consulté le 10/12/2025)

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