| Note [8] | |
« pour faire fortune, honnêtement, sinon par quelque moyen que ce soit » (Horace, v. note [20], lettre 181) : pour Guy Patin, c’était sa clientèle, et non ses travaux de recherche, qui nourrissait le médecin, quelle que fût l’orthodoxie de sa pratique. V. note [16], lettre 308, pour les attaques de Jean ii Riolan contre Thomas Bartholin sur les voies du chyle dans ses Opuscula nova anatomica [Opuscules anatomiques nouveaux] (Paris, 1653). Dans le sillage tourbillonnant des découvertes publiées par Jean Pecquet en 1651 (v. note [15], lettre 280), les ouvrages sur le sujet ont été bien plus nombreuses au xviie s. que ce à quoi Guy Patin semblait ici les réduire, mais le sujet ne le passionnait guère. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Theodor Schenck, le 28 février 1669, note 8.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1501&cln=8 (Consulté le 12/12/2025) |