| Note [10] |
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Dans le vocabulaire paracelsiste, le colcotar était « le marc qui reste dans la cornue après la distillation du vitriol [v. note [13], lettre 336] ; on l’appelle aussi terre damnée, ou caput mortuum [tête de mort] » (Furetière). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Consultations et mémorandums (ms BIU Santé 2007) : 20, note 10.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8150&cln=10 (Consulté le 07/12/2025) |