| Note [23] | |
Epiphanius Ferdinandus (Epifanio Ferdinando), Theoremata medica et philosophica, mira doctrinæ varietate, novoque scribendi ordine donata, et in tres libros digesta… [Propositions médicales et philosophiques, en une étonnante variété d’enseignements, données suivant un ordre nouveau d’écriture, et divisées en trois livres] (Venise, 1611, v. note [19], lettre 14), livre iii, proposition xlv, An Antimonium etiam præparatum sit venenum [L’antimoine, même préparé, est-il un venin ?] (page 270). Après avoir en effet énoncé six raisons pour lesquelles l’antimoine, même préparé, est à tenir pour un poison, Ferdinandus en arrivait à se contredire dans la conclusion qu’il donnait à la page suivante, sous le titre Quid alii senserint [Ce que d’autres en ont pensé] :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Observations de Guy Patin et Charles Guillemeau sur les us et abus des apothicaires (1648) : ii, note 23.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8155&cln=23 (Consulté le 07/12/2025) |