| Note [44] |
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Cet article détourne, au profit des hommes et aux dépens des femmes, le véritable sens du propos que Phèdre tient à son fils Hippolyte dans la tragédie de Sénèque le Jeune qui porte le nom de l’un ou l’autre de ces deux personnages (vers 607, acte ii, scène 3) : Curæ leves loquuntur, ingentes stupent Il serait concevable qu’il s’agît d’une raillerie misogyne de Guy Patin si la suite (v. infra note [45]) n’en dissuadait pas le critique méticuleux et méfiant. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : L’Esprit de Guy Patin (1709), Faux Patiniana II-3, note 44. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8216&cln=44 (Consulté le 11/12/2025) |