De Charles Spon, le 12 février 1658, note 17.
Note [17]

Après la bataille : « on dit d’un vieillard que ses plus grands coups sont rués, pour dire qu’il devient impuissant » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Charles Spon, le 12 février 1658, note 17.

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(Consulté le 08/12/2025)

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