| Note [4] |
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C’est bien sûr Avicenne que Vopiscus Fortunatus Plempius s’appropriait ici familièrement en l’appelant « mon Arabe », et dont il s’apprêtait à publier les deux premiers livres du Canon, traduits en latin. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Vopiscus Fortunatus Plempius, le 13 décembre 1656, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=9066&cln=4 (Consulté le 08/12/2025) |