| Note [9] |
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| « il appartient au bourreau, et même au tortionnaire, mais non pas au médecin, de faire couler le sang humain et le répandre à profusion ». | |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Julien Bineteau, le 1er octobre 1651, note 9.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=9089&cln=9 (Consulté le 07/12/2025) |