Note [1] | |
« pour ensuite tuer impunément CAIM » : acronyme désignant les Carmes, les Augustins, les Jacobins (dominicains) et les frères Mineurs (franciscains). Vade et occide CAIM [Va-t’en tuer…] était la cynique admonestation que l’Université de Montpellier faisait à ceux qu’elle avait gradués « à la petite mode », en les renvoyant dans leurs contrées d’origine (v. notes [52] et [53] de L’ultime procès de Théophraste Renaudot). Les précédents éditeurs des lettres ne sont pas venus à bout de CAIM :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 1er avril 1657, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0474&cln=1 (Consulté le 30/04/2025) |