Note [1] |
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L’annotation de Charles Spon au verso de la lettre précisait que le jeune médecin dénommé Monin (v. note [27], lettre 500) était de Serrières (v. note [18], lettre lettre de Spon datée du 5 mars 1658), sur la rive droite du Rhône, c’est-à-dire dans le Vivarais, et non le Dauphiné (rive gauche), comme Guy Patin l’écrivait ici par erreur de voisinage géographique. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 12 novembre 1657, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0502&cln=1 (Consulté le 09/02/2025) |