Note [1] |
|
« d’une podagre qui s’est très vite résolue et à laquelle aussitôt, et presque immédiatement, ont succédé des douleurs néphrétiques extrêmement aiguës et atroces ; pour les soulager on l’a saigné six fois ; puis enfin, avec de grandes tortures, un très gros calcul est descendu dans la vessie, d’où il n’est pas encore sorti ; il était fébrile, il avait soif et il ne dormait pas. » |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 6 mai 1659, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0562&cln=1 (Consulté le 17/01/2025) |