Note [1] | |
« publicains, parce qu’ils détroussaient le peuple, comme sangsues du bien public ». Lecteur des Annales de William Camden sur le règne d’Élisabeth d’Angleterre (Londres, 1615, v. note [18], lettre 642), Guy Patin se souvenait sans doute de ce passage (4e partie, année 1590, page 21) où la souveraine répond à ses conseillers : se Reginam esse infimorum non minus quam maximorum, nec aures illis velle occludere, nec passuram ut Publicani quasi hirundines < sic pour hirudines > Reipublicæ bonis saginentur dum ærarium inops tabescit ; nec illud ex egentium spoliis redundaret. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 15 mai 1665, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0823&cln=1 (Consulté le 18/03/2025) |