Note [1] |
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C’est-à-dire les chirurgiens qui allaient avoir à saigner sur les ordres des médecins. La « bonne fête » était celle de Pâques, le 10 avril. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 15 avril 1667, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0907&cln=1 (Consulté le 08/02/2025) |