Note [1] |
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Cette lettre a malheureusement été égarée. Celle-ci nous donne donc la première relation que nous ayons de Guy Patin regardant l’exil et la condamnation de son bien-aimé fils Charles. Les lettres disponibles ne nous disent rien d’un autre événement troublant dans la vie de Guy Patin : la cession volontaire de toute sa bibliothèque, livres, tableaux et étagères, à son fils aîné Robert, signée le 14 décembre 1667 par devant les notaires parisiens Jacques Despriez et Pierre Gallois (v. La bibliothèque de Guy Patin et sa dispersion). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 7 mars 1668, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0930&cln=1 (Consulté le 19/01/2025) |