Note [1] |
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Du latin saburra, graviers qu’on déversait au fond de la cale des navires pour les lester, la saburre désignait en médecine les « matières viciées que l’on a supposées retenues et amassées dans l’estomac à la suite des mauvaises digestions, et que l’on a considérées tantôt comme un produit altéré de l’excrétion muqueuse de cet organe, ou de la sécrétion biliaire [ici atrabilaire], tantôt comme un résidu de substances alimentaires mal digérées » (Nysten). Le français moderne n’en a retenu que la « langue saburrale » (recouverte d’un enduit blanc-jaunâtre). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude Bachey, le 29 novembre 1660, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1182&cln=1 (Consulté le 24/01/2025) |