Note [1] |
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Il est hors de doute que Guy Patin a ici employé le verbe latin mentiri qui a le sens de mentir, de dissimuler ou déguiser la vérité. Cet aveu (ou cette feinte) de Guy Patin est troublant et impossible à interpréter sans avoir lu la lettre qu’Otto Sperling lui avait écrite. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Otto Sperling, le 27 juillet 1662, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1238&cln=1 (Consulté le 11/02/2025) |