Note [1] | |
Comme tous les dogmatiques (et c’est l’un des points qui les différencient radicalement des empiriques et des chimistes), Jean Fernel avait la conviction que les écarts de conduite nuisent à la santé, comme le péché nuit à la grâce, ou au destin de l’âme, dans la religion catholique. Il l’a clairement exprimé, entre autres endroits, au début du chapitre xii, Les genres des causes évidentes (pages 42‑43), livre premier de sa Pathologie (publiée pour la première fois en 1554 ; édition française de Paris, 1655, v. note [1], lettre 36) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre XII, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8179&cln=1 (Consulté le 28/04/2025) |