Note [1] |
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Charles Spon ménageait malicieusement à Guy Patin la surprise d’une visite que son épouse, Marie, née Seignoret, allait lui rendre à Paris. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Charles Spon, le 11 septembre 1657, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=9028&cln=1 (Consulté le 28/03/2025) |