Note [10] |
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L’antidotaire de la Faculté (Codex medicamentarius, v. note [7], lettre 122) avait pourtant bel et bien approuvé le « vin émétique » d’antimoine en 1638, mais la fureur de Guy Patin là-dessus était aussi aveugle qu’inamendable. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 3 mai 1653, note 10.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0311&cln=10 (Consulté le 25/04/2025) |