À André Falconet, le 27 février 1660, note 10.
Note [10]

« nulle médecine ne vient à bout de la sécheresse et putréfaction des viscères, tant il est vital de leur conserver leur humidité ; cela dit, j’approuve tout à fait ce que vous avez proposé. »

Henri de Rhodes, médecin de Lyon, avait administré de ce vin d’absinthe à M. Tevenet, procureur de Lyon malade, qui mourut pourtant (v. note [1], lettre 587). Guy Patin craignait qu’on ne refît là-bas la même erreur avec un abbé hydropique.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 27 février 1660, note 10.

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(Consulté le 17/06/2025)

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