Note [10] | |
Page 89 de la Pharmacopœa Ultrajectina sur l’aloès (v. note [8], lettre 169) :
Pour Thomas Corneille (comme pour Guy Patin), cette distinction n’avait pas lieu d’être ; il écrit de l’aloès hépatique qu’« on l’appelle aussi succotrin, ou à cause de sa couleur qui tire sur le citrin, comme si on voulait dire suc citrin, ou à cause que le plus excellent aloès nous est apporté de l’île de Soccotra ou Succotra [à l’entrée du golfe d’Aden] ». |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Christiaen Utenbogard, le 2 février 1657, note 10.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1105&cln=10 (Consulté le 20/01/2025) |