Note [10] |
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Ce prêt ne se fit pas : Pierre Petit préféra se lancer lui-même dans une édition d’Arétée (qui ne parut qu’en 1726, à Londres, v. note [3], lettre 731) ; ce qui affermit Johannes Antonides Vander Linden dans son dessein d’en faire autant (v. supra note [5]), mais il ne put en venir à bout. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, les 28 octobre et 7 novembre 1660, note 10.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1181&cln=10 (Consulté le 26/01/2025) |