Note [11] | |
« de son vivant. » Johann Prevost (Prævotius, Disperg près de Bâle 1585-1631) se disait Rauracus, c’est-à-dire rauraque, ancien nom des riverains de l’Aar, fleuve qui arrose Bâle. Il avait été envoyé à Padoue pour étudier la théologie, mais il opta finalement pour la médecine. Reçu docteur en 1607, il passa toute sa carrière à Padoue où il devint interprète public d’Avicenne en 1613, puis titulaire de la chaire de botanique en 1617. Ses « deux traités » sont intitulés : Joannis Prævotii, Philosophi ac medici, necnon apud Patavinos Professoris publici primarii, Medicina pauperum, cum censu venenorum et Alexipharmacorum. Quibus accessit de medicamentorum materia Tractatus. Indicem Capitum ad libri finem subiunctum reperies. Guy Patin allait avoir la surprise de découvrir que le libraire lui avait dédié cet ouvrage : v. note [10], lettre 97. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 9 mai 1643, note 11.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0081&cln=11 (Consulté le 22/01/2025) |