Note [11] |
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« et cependant je ne suis pas allé jusqu’au point d’impiété qu’Ovide a jadis atteint, pleurant un ami mort : “ Quand je vois le malheur nous arracher les plus vertueux, pardonne-moi cet aveu, je suis tenté de croire que les dieux n’existent pas ” » (Ovide, Amours, livre iii, élégie ix, vers 35‑36). L’Esprit de Guy Patin a repris ce passage et l’a étendu : v. notes [2] et [3] du Faux Patiniana II‑2. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 5 novembre 1649, note 11.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0206&cln=11 (Consulté le 08/02/2025) |