Note [11] |
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François de Barancy (v. notes [3], lettre 211, et [50], lettre 216) avait pris le parti de Pierre Gassendi dans sa querelle avec Jean-Baptiste Morin ; mais Guy Patin se trompait en attribuant à Barancy la Favila ridiculi muris de Bernier (v. note [10], lettre 315). Il est vrai qu’il y a amplement de quoi se perdre dans la foison de libelles que cette affaire a nourrie. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 23 mai 1653, note 11.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0315&cln=11 (Consulté le 30/04/2025) |