Note [11] |
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« comme les marchands en ont l’habitude, ne peuvent faire de gain sans mentir effrontément ni sans flatter les grands qui veulent être trompés. » Cicéron (Des Devoirs, livre i, chapitre 42) :Sordidi etiam putandi, qui mercantur a mercatoribus, quod statim vendant ; nihil enim proficiant, nisi admodum mentiantur, nec vero est quicquam turpius vanitate. [Doivent aussi être réputés vils les trafics des marchands qui achètent pour revendre aussitôt ; ils ne peuvent faire de gain sans mentir effrontément, et rien n’est plus bas que la duperie]. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 mai 1663, note 11.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1275&cln=11 (Consulté le 17/02/2025) |