Note [12] | |
« mais je ne les crois pas » (v. note [4], lettre 19). De fait, Marie de Médicis ne revint jamais en France. Elle avait quitté Bruxelles en août (v. note [6], lettre 37) pour être bien accueillie en Hollande, « comme l’épouse du grand roi [Henri iv] qui avait aidé les Provinces-Unies à se constituer, la régente qui avait favorisé leur développement, la mère du monarque qui les protégeait contre l’Espagne » (Henri Fouqueray, chapitre xv, Derniers jours des trois puissants protecteurs [1641-1643], pages 436‑437) ; mais Richelieu :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 14 septembre 1638, note 12.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0043&cln=12 (Consulté le 23/04/2025) |