Note [12] | |
« et la cause n’est pas encore jugée » : grammatici certant et adhuc sub iudice lis est [les grammairiens se disputent et la cause n’est pas encore jugée] (Horace, L’Art poétique, vers 75). V. note [8], lettre 166, pour Jean-Louis-Charles d’Orléans, comte de Dunois, fils aîné du duc de Longueville. Journal de la Fronde (volume ii, fos 47 vo et 48 ro) :
Pour gagner l’alliance du duc de Longueville, la cour alla jusqu’à lui envoyer « un brevet du roi pour être dorénavant traité et considéré comme prince du sang » (Dubuisson-Aubenay, Journal des guerres civiles, tome ii, page 189, 23 mars 1652). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 26 mars 1652, note 12.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0284&cln=12 (Consulté le 09/02/2025) |