Note [12] | |
« la Nature se contente de peu. » Guy Patin a cité cet adage de Boèce (v. note [3], lettre latine 198) dans sa thèse sur la Sobriété (1647) (v. sa note [90]). Botal (v. note [47], lettre 104) l’a plaisamment illustré dans ses Commentarioli duo, Alter de medici, alter de ægroti munere… [Deux petits commentaires : l’un sur la fonction du médecin, l’autre sur celle du malade…] (Lyon, Antoine Gryphe, 1565, in‑8o, page 85) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 25 juin 1660, note 12.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0619&cln=12 (Consulté le 22/04/2025) |