Note [13] | |
« La fortune de cour est une servitude resplendissante, tout emplie de malheur, de souffrance et de misères ; la cour a rendu peu de gens heureux, qu’elle a cependant ruinés. » Ce sont les deux derniers vers (morale) de la fable de Gabriele Faerno (Gabriel Faërne ; Crémone vers 1510-Rome 1561), intitulée Turdi [Les Grives] :
V. note [5], lettre latine 294, pour le jugement mitigé de Jacques-Auguste i de Thou sur les talents de Faerno. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 27 août 1658, note 13.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0535&cln=13 (Consulté le 08/02/2025) |