Note [14] |
|
V. note [21], lettre 312, pour L’Antimoine justifié… d’Eusèbe Renaudot. Il a pu y avoir une relation effective entre la fricassée de volaille qu’il avait mangée à la table de François Guénault (v. lettre à Charles Spon, datée du 16 août 1654) et l’abcès qu’il avait développé trois mois plus tard dans la tempe : en vomissant, un petit bout d’os de poulet se serait fiché dans la gorge pour être le départ d’une lente infection (phlegmon) du cou, puis de la face et de la tempe. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 27 octobre 1654, note 14.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0376&cln=14 (Consulté le 16/03/2025) |