Note [14] | |
« La voilà en tout point soulagée de jour en jour ; quotidiennement maintenant apparaissent des signes plus manifestes et éclatants de coction, et une rémission des symptômes, qui sont les apparences les plus certaines du retour à une meilleure santé. » Guy Patin citait un vers emprunté à un sonnet de Joachim Du Bellay (Liré, Maine-et-Loire 1522-Paris 1560) intitulé De la saignée qui lui ôta la fièvre :
Joachim était fils de Jean Du Bellay, cousin germain de Guillaume, le militaire et diplomate (v. note [18], lettre 925), et de son frère, le cardinal Du Bellay (v. notule {b}, note [15] du Faux Patiniana II‑3). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 26 décembre 1662, note 14.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0739&cln=14 (Consulté le 25/01/2025) |