Note [14] |
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V. note [5], lettre 542, pour ce voyage qu’on a surnommé « comédie de Lyon », avec feinte diplomatique de fiançailles entre le roi et sa cousine, la princesse Marguerite de Savoie. Dans sa phrase précédente, Guy Patin a curieusement mis dans le même sac les romans, qu’il méprisait, et les ouvrages théologiques, qu’il lisait très volontiers, en y mêlant en outre jésuites et moines (soumis à l’autorité de Rome) à la Sorbonne (réputée majoritairement gallicane). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 22 novembre 1658, note 14.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1144&cln=14 (Consulté le 26/01/2025) |