Note [15] |
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Charles Patin ne pouvait être allé rendre visite qu’à un frère (ou beau-frère) de sa mère. Peut-être s’agissait-il de l’oncle avocat qui l’avait poussé à étudier le droit (v. note [14] de son Autobiographie). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 26 mars 1655, note 15.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0395&cln=15 (Consulté le 24/06/2025) |