Note [150] |
|
L’amnistie royale de 1681 (v. supra note [145]) lavait entièrement Charles Patin de sa condamnation et imposait, « sur ce, silence perpétuel à notre procureur général, à ses subsitituts et à tous autres ». |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Déboires de Carolus, note 150.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8010&cln=150 (Consulté le 23/01/2025) |