Note [18] | |
Cette épitaphe de Nicolas Piètre n’a pas été imprimée. Jean Tarin (Beaufort, Anjou 1586-Paris 21 janvier 1666) n’avait commencé qu’à 18 ans ses études chez les jésuites, mais avait fait de rapides progrès. Il était monté à Paris en 1615, pour devenir successivement professeur de rhétorique au Collège d’Harcourt (v. note [6], lettre 211), recteur de l’Université (1625-1626) et professeur royal d’éloquence latine au Collège de France (1636). Louis xiii lui écrivit une lettre de félicitations pour avoir fait condamner par le Parlement le traité De Hæresi du jésuite Santarelli qui subordonnait le pouvoir des rois à celui du pape. Tarin avait refusé d’entrer dans les ordres et s’était marié en 1628. Tarin n’a fait imprimer que quelques pièces d’éloquence. Le fo 113 du Ms BnF no 9357 est un petit poème latin qu’il a écrit à la louange de Guy Patin (dont l’écriture est celle de Hugues ii de Salins) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 avril 1649, note 18.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0172&cln=18 (Consulté le 21/04/2025) |