Note [2] | |
Nicolas Brayer (Château-Thierry 1606-6 octobre 1678) avait été reçu premier de sa licence. Comme tel, il avait disputé le 11 juillet 1628 sur la question An ictericus aspectu avis icteri curetur et intermoriatur avis, et qua ratione id fiat ? [La vue d’un loriot (avis icterus, oiseau jaune) guérit-elle le malade ictérique (qui a la jaunisse) et l’oiseau en meurt-il alors, et en raison de quoi cela se fait-il ?]. Le mois suivant, il avait été reçu docteur régent de la Faculté de médecine de Paris, après son père et son frère aîné tous deux prénommés Gaspard (v. note [9], lettre 126). M. Andry (Encyclopédie méthodique, 1790, tome premier, pages 162‑163) :
Tallemant des Réaux a accordé une mention à Nicolas Brayer dans l’historiette qu’il a consacrée à Jean ii de Champrond (v. note [28], lettre 391). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 20 septembre 1644, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0111&cln=2 (Consulté le 28/03/2025) |