Note [2] |
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« la “ Rosée au soleil ” [v. note [6], lettre 220] n’a rien de solaire, mais elle est ardente, ce qui la rend tout à fait capable d’être fort contraire aux douleurs des lombes et des reins ». |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 31 janvier 1653, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0303&cln=2 (Consulté le 18/01/2025) |