Note [2] |
|
Le prince était condamné à mort comme criminel de lèse-majesté et dans l’attente de cette exécution, « il serait déchu de toutes charges, dignités et honneurs, et tous ses biens seraient réunis à la Couronne. Pareil arrêt fut donné contre ceux qui tenaient son parti, qui furent condamnés à perdre la tête et les biens » (Montglat, v. note [10], lettre 332 ; Gazette, ordinaire no 42, page 330). Le frère de Condé, Conti, ne bougea pas (Jestaz). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 10 avril 1654, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0345&cln=2 (Consulté le 23/01/2025) |