Note [2] |
|
« Ces déjections copieuses n’ont de valeur que dans la mesure où elles soulagent. Une chiasse perpétuelle ne sied pas à la dignité à notre art : le poison émétique avait mis les viscères en un épouvantable délabrement qui n’a pas pu être corrigé. » |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 24 décembre 1658, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0549&cln=2 (Consulté le 20/04/2025) |