Note [2] |
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Ses livres étaient le monument qu’avait laissé Jean ii Riolan à sa mort, en 1657. Dans l’Antiquité, l’airain de Corinthe (aes Corinthum) avait la réputation de ne pas ternir. Pline en a dit la grande valeur (Histoire naturelle, livre xxxvi, chapitre i ; Littré Pli, volume 2, page 429) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Bernhard Verzascha, le 8 novembre 1663, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1301&cln=2 (Consulté le 20/01/2025) |