Note [2] | |
L’enclume (incus) de Neuhaus pouvait être une allusion à celle d’Horace (L’Art poétique, vers 440‑441) :
Quoi qu’il en soit, elle annonçait la Reineri Neuhusii JC. Thalia Alcmariana. Et Poematum juvenilium libri ii [La Thalie (la Grâce de l’abondance, v. note [4], lettre de Neuhaus, datée du 1er juin 1673) d’Alkmaar, par Reiner von Neuhaus, jurisconsulte. Avec deux volumes de ses poèmes de jeunesse (v. note [4], lettre latine 72)] (Amsterdam, Jan Jansson van Waesberge et la veuve d’Elizæus Weyerstraten, 1669, 2 volumes in‑12). Deux recueils poétiques latins de Neuhaus avaient paru sous le même titre de Thalia Alcmariana à Amsterdam en 1658 et en 1661 ; dans ce troisième, se lit cette ode (tome i, page 78) :
La note [5] de la lettre latine 199 et la lettre de Neuhaus, datée du 15 mai 1664 (v. ses notes [3] et [4]) fournissent trois autres échantillons de son lyrisme poétique, fort éloigné, il faut bien le dire, du génie d’Horace. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Reiner von Neuhaus, le 15 mars 1668, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=9086&cln=2 (Consulté le 26/01/2025) |