Note [21] | |
Sauf pour le remplacement contextuel initial de ad quam par ad medicinam, cette transcription est strictement fidèle à ce que Jacques-Auguste i de Thou a écrit de l’insigne Jacques Houllier (v. note [9], lettre 131) dans son Histoire universelle (livre xxxiv, règne de Charles ix, année 1562, édition latine de Paris, 1609, 3e partie, tome v, pages 580‑581) : « dans sa pratique médicale, ce fut un homme riche et âpre au gain, qui s’est amassé une immense fortune en exerçant dans une ville fort peuplée ; {a} moins enclin à la méditation approfondie, il a appliqué son jugement très perçant à soigner avec heureux succès les maladies désespérées, que ne connaissent guère ceux qui fatiguent leurs mules {b} à courir les rues dans la hâte de faire leurs visites. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Borboniana 10 manuscrit, note 21. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8211&cln=21 (Consulté le 08/02/2025) |